Réflexion sur l’entrepreneurship au Nouveau-Brunswick

Note again: With apologies to non-French readers, this is another exercise in French. If any of my former students or IT colleagues read the final paragraph of this post and think I am referring to them as “old students”, “anciens” in French means “former”, not old! 🙂

Le concept de devenir un entrepreneur m’était inconnu quand je grandissais. Mon père a travaillé dans le secteur privé, dans un bureau; ma mère a travaillé dans le secteur public, dans une salle de classe. Tout le monde que je voyais travaillait à quelque chose, quelque part. Je n’ai jamais pensé à l’économie, comment ça marchait, ou comment ça ne marchait pas quelquefois. Mais éventuellement, comme adulte, j’ai compris la nécessité d’avoir un secteur privé très solide afin d’avoir un secteur public solide. Sans les revenus du secteur privé il n’y a pas assez des recettes fiscales pour financer le secteur public et tous les programmes sociaux que nous demandons. Tous les deux sont importants. Vous ne pouvez pas avoir l’un sans l‘autre!

NBFlagC’est par accident – un heureux hasard – que je suis devenue impliquée dans la promotion au Nouveau-Brunswick d’activités entrepreneuriales. Mon introduction dans le monde des entrepreneurs était un résultat de mon rôle comme professeur et administratrice d’informatique à l’Université de Nouveau-Brunswick. Au cours des années 90, il y avait des occasions d’établir des nouvelles entreprises d’informatiques au Nouveau-Brunswick. A ce moment-là, avant les problèmes « dot.com », notre province avait beaucoup de graines en terre pour cultiver un secteur TIC (la technologie de l’information et des communications) réussi. Nous avions une base d’expérience dans ce domaine avec NBTel, ses sous-produits, et quelques autres entreprises d’informatique. Nous avions les programmes informatiques solides à l’Université du Nouveau-Brunswick et à l’Université de Moncton. Les entreprises privées avaient de bonnes relations avec ces départements d’informatique. Il y avait des relations solides entre l’industrie, les universités, les agences d’entreprises des trois villes de Moncton, Saint-Jean, et Fredericton, et le gouvernement provincial qui avaient tous comme but de faire croître ce secteur au Nouveau-Brunswick.

J’ai appris beaucoup pendant ma participation aux groupes qui ont promu cette vision de croissance pour notre province. Et je suis venue à grandement admirer nos entrepreneurs et nos leaders communautaires qui travaillent dur pour créer l’environnement qui permet à nos entrepreneurs – et notre économie – de prospérer.

Tout le monde est d’accord que Nouveau-Brunswick doit créer des emplois pour encourager nos jeunes à rester ici et pour attirer les autres à venir aussi. La croissance d’emplois vient d’un secteur privé sain, soutenu par la bonne politique publique, donc il est impératif que Nouveau-Brunswick continue à développer une culture d’entrepreneurship. Une culture d’entrepreneurship encourage les jeunes à penser à commencer leur propre entreprise comme un plan de carrière possible. Aussi, une culture d’esprit d’entrepreneurship promeut l’incubation des nouvelles entreprises qui inclut : l’accès à du capital-risque, l’accès à des mentors, des conseils au sujet des exigences légales et financières, et plus encore. Et une culture d’esprit d’entreprise comprend que les universités ont un rôle très important à jouer dans la croissance d’une économie forte par l’innovation et la commercialisation d’efforts de recherche, particulièrement dans les sciences et les sciences appliquées.

Nouvelles entreprises – les start-ups – ont besoins d’un réseau d’appui fort. Il y a beaucoup de risques; la route est pleine de zigzags. Pour réussir avec une nouvelle entreprise, il faut avoir beaucoup de chose : les idées, la passion, la confiance, la persévérance, et une bonne équipe. Toutes sont nécessaires, tout le temps. Et pour continuer à avoir du succès dans un marché compétitif, il faut continuellement innover et être préparé à faire des changements.

Quelques-uns de mes anciens étudiants et aussi quelques-uns de mes collègues sont chefs d’entreprises à succès en Fredericton dans le secteur d’informatique et technologie. Ils travaillent très fort. Ils emploient beaucoup de monde et ils contribuent beaucoup à notre collectivité et à notre province. Je suis très fière de connaître ces entrepreneurs. Nous devons avoir plus comme eux!

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4 Responses to Réflexion sur l’entrepreneurship au Nouveau-Brunswick

  1. Francine Deslauriers Holland says:

    J’aimerais ajouter Jane que en plus de tous les critères de réussite nécessaires pour les nouveaux entrepreneurs, il ne faut pas oublier la nécessité de travailler de longues heures de travail et d’avoir un bon réseau d’appui de la part des conjoints ou conjointes, j’en sais quelque chose, mon mari ayant été un entrepreneur pendant plus de 25 ans.

    Francine

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    • Jane Fritz says:

      Merci, Francine. D’accord, vraiment. Tu as raison. Pour réussir comme un entrepreneur on dois avoir un conjoint ou une conjointe de soutien et comprenant, comme tu étais pour un de mes entrepreneurs favoris, Bill Holland!

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  2. Sartenada says:

    Bonjour.

    Super texte, que j’ai apprécié. Je vous remercie.

    Bon début de semaine.

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